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Je découvre que j'aime l' autorité

Ecrit par Dom
Parue le 11 mai 2015
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Cette histoire érotique a été lue 9144 fois | Cette histoire erotique a une note de : 14/20

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Il y a une semaine, pour la première fois, je me suis retrouvé nu devant plusieurs hommes, j'ai gardé les yeux fermés, un homme m'a caressé, sucé, jouer avec mon anus, je me suis tortillé de plaisir et pour finir il m'a forcé à le sucer. J'ai cela dans la tête depuis ce jour, au début de la honte mais je dois m' avouer que j'y ai pris du plaisir. C'est un copain qui m'a amené et il doit venir me chercher ce matin pour y retourner, il était là la première fois et j'ai honte devant lui, je n'ose pas le regarder. Je recois un message sur mon ordi qui me fige:

Ce matin je veux te voir arriver en gilet sans pantalon, aucune discution, c'est un ordre. Signé: M. Paul

Je ne comprend pas qu'il connaisse mon adresse à moins que mon copain lui a donné, je cherche le gilet le plus long possible et je me demande si je peux garder ma bobette, si je la garde et qu'il ne veut pas, je vais le mettre en colère, je pense quand j'entend la sonnette c'est mon copain, je descend aussitôt, j'entre dans sa voiture sans le regarder.

Tu viens travailler comme ca?

M. Paul m'a envoyé un message et il veut que j'arrive comme ca.

Il ne dis rien mais il sourit, mon gilet n'est pas très long et je dois le retenir, il passe environ trente minutes quand il s'arrête devant un resto, il me donne de l'argent et me dit d'aller chercher deux café et deux beignes, je sort et en me relevant je comprend qu'il voit mes fesses, je reviens et je ne peux retenir mon gilet en entrant car mes mains son pleine, je sais qu'il voit mon pénis et maintenant il a la confirmation que je ne porte que mon gilet, enfin nous arrivons, M. Paul est là, je vois trois hommes qui travaillent plus loin et il m'ordonne d'aller les aider, nous devons égaliser le terrain et je ne peux rester le corps bien droit et comme je me tiens penché j'ai les fesses à l'air, M. Paul me regarde avec un sourire.

Tu es plus cochonne que je pensais, je t'ai dit pas de culotte, je n'ai rien dit sur ta bobette mais j'aime mieux comme ca.

Cela fait rire les autres ainsi que mon copain, nous arrêtons de temps à autre pour boire, assis par terre ils s'installent tous pour me voir, je ne peux me relever et me cacher, je commence à y prendre plaisir et je ne me cache plus, j'apprend que M. Paul est le patron des travaux. Le journée prend fin et en entrant dans le camp il m'ordonne d'enlever mon gilet, de le laver et de prendre une douche, j'obéis et je comprend que je vais rester nu jusqu'au matin, je suis content car il y a moins d'hommes. Je dois servir et il n'y a aucune discussion, je le fais avec plaisir.

Dis mois donc Jac comment tu as compris qu'il serait une vrai chienne

Je ne l'ai jamais vu regarder une fille et si une fille ou un gars parle fort il s'écrase, avec des amis je l'ai vu regarder des gars et des filles tout nus et c'est facile à voir ou son regard se fige.

Ce n'est pas la bonne raison, je me compare plutôt à eux car je ne peux me comparer à ces gros pénis, je ne peux me défendre.

C'est ce soir que j'encule ce beau petit cu mais si tu veux Jac je te laisse passer en premier.

Oh non vous le savez j'aime trop les filles pour ca, gardez-la elle est à vous.


Elle est bien à moi, elle n'attend que ca, aucune résistance et deux minutes pour la mettre à poil et aujourd'hui elle m'offre son cu en arrivant à poil.

Debout près de la table je sens la main de M. Paul caresser mes fesses, ils rient et je garde la tête baissée, je sais qu'il a raison, il veut me pénétrer ce soir et cela me fait peur, après le repas je fais la vaisselle comme je passe proche de la table, M.Paul me prend par le bras et il m'allonge sur la table, je ferme les yeux. Je sens un froid sur mon ventre et en regardant je le vois avec un rasoir, il commence à me raser, j'ai peur qu'il me coupe, il étire mon pénis vers le haut et sur les cotés, après ce sont mes testicules qu'il étire, un petit coup sur le torse et sous les bras avant de me retrouver les pattes repliées sur moi et écartées, retenues par quatre mains, il prend son temps pour bien vérifier, j'ai les yeux fermés quand je recois un coup sur les fesses qui me fait crier.

Maintenant va te laver, là tu es une vrai chienne.

J'entre dans la douche en les entendant rire, je ne suis pas choqué et je pense que M, Paul est content de m'avoir, si Jac ne serait pas là je serais vraiment heureux, je reprend ma place sur le table et aussitôt je sens deux pinces sur le bout de mes seins, les jambes repliées, deux cordes aux chevilles me retiennent, je sens une crème entre mes cuisses et des doigts l'étendre entre mes fesses, je sens un objet pousser sur mon anus et lentement me pénétrer, aucune douleur seulement du plaisir, mon pénis gonfle et il veut exploser, je les entend.

Vas-y Paul prend en un plus gros il en demande,

Il entre lentement et je n'arrête pas de dire (oui,oui,oui) même quand un plus gros prend la place, je n'ai plus peur et je me fiche de Jac même si je sais qu'il va tout raconter à ses amis.je vois M.Paul se diriger vers moi quand son pénis approche ma figure, j'ouvre la bouche et il comprend que je le veux, il n'a pas à pousser car je saute sur son gland, la première fois j'ai détesté mais là je suce et lèche le bout de ce gros gland à chaque coup qui pénètre mon cu,je sens qu'il va exploser quand il se retire, l'objet se retire de mes fesses et je le vois se placer à mes pieds, lentement il me pénètre et là la douleur arrive, c'est atroce mais il continue, cela me semble une éternité et quand il se retire j'en suis content. Je ne bouge pas un certain temps même avec les jambes détachées, je me lève et va prendre une douche.

Jac va te reconduire et n'oublis pas que maintenant tu m'appartiens et tu vas attendre mes ordres.

Aucun mot sur le retour mais chez moi je me regarde dans le miroir et j'aime me voir rasé, je pense déjà à ma prochaine fois.
















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